Après la génération Y, c’est aux « Millenials », ces jeunes nés après 1995, d’être taxés des pires défauts . On les dits narcissiques, déconcentrés, paresseux, impatients et égocentriques... Une caricature loin des valeurs de fraternité, de coopération, de vivre-ensemble ou de développement durable défendues par Apriles.
Et pourtant ! Selon un sondage conduit par Ipsos il y a un peu plus d’un an, auprès des élèves de 134 grandes écoles, d’ingénieurs, de commerce, de sciences politiques…, le portrait dressé ressemble plus à celui d’une génération en quête de sens et d’utilité sociale, valeur jugée indispensable dans le cadre d’un emploi futur. Ainsi, 54% des étudiants interrogés étaient déjà engagés dans une association et un sur deux se disait attiré par le secteur de l’économie sociale et solidaire (ESS), même si pour la majorité, la définition dudit secteur restait assez floue. Un quart de ces étudiants étaient même prêt à sacrifier 10% de leurs futurs revenus potentiels pour travailler dans l’ESS.
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