Doucement les mots reprennent le dessus, prennent le devant de la scène de notre vie relationnelle et de l'expression des enfants, des ados. Et ce n'est pas rien. Cet engouement pour les mots se propage, nos écrits se décomplexent en 140 caractères ou dans des billets plus longs adressés à des proches, adressés à on ne sait qui, à qui voudra les lire, se reconnaissant dans les brèves phrases ou les textes emplis d'adjectifs, réveillant des échos dans d'autres lieux, d'autres esprits...,
« Ecrivez régulièrement de petits textes, plus vous écrirez, moins vous aurez peur » nous invite David Cordina dans le portrait qui lui est consacré dans nos colonnes. Passer à l'écrit n'est pas anodin, ne plus craindre ses maladresses, s'exposer pour le jour d'après mieux coucher sur l'écran pensées futiles ou idées lumineuses est une gymnastique nouvelle où le lâcher prise amène des saveurs inconnues. 

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