• "Les familles monoparentales et la disparition de l'autorité paternelle... pour JM Bockel, secrétaire d'Etat à la Justice, c'est la clé de la prévention de la délinquance des jeunes...."
  • "Que gagne-t-on à constituer des catégories de publics de plus en plus fines dans l'espoir de "traiter la difficulté" ?..."
  • "JM Bockel, préconise notamment de "responsabiliser les parents par rapport à l'école" et cite l'exemple de la "mallette des parents", ..."
  • Dépistage des bébés agités : le collectif "Pas de 0 de conduite" dit "non"
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  • Source : Café Pédagogique : Les familles monoparentales et la disparition de l'autorité paternelle... pour JM Bockel, secrétaire d'Etat à la Justice, c'est la clé de la prévention de la délinquance des jeunes. "Résulte de cette autorité parentale déstabilisée, tant en droit que dans les faits, un phénomène inquiétant de solitude d’un certain nombre de jeunes insécurisés par la faiblesse de la structure familiale", écrit-il. "La délégitimation des familles conduit également à une délégitimation plus globale de l’autorité et par voie de conséquence de l’école, avec pour effet une déscolarisation précoce. L’absence de parentalité réelle et assumée induit, dans l’esprit du mineur, une absence de projet et de possibilité d’inscription dans l’avenir. Se vivant sans parent, le mineur se perçoit sans passé, sans avenir et désinvestit l’école. Sans véritables repères, les sollicitations multiples conduisent à la mise en place de comportements désordonnés et dévalorisés soumis à des injonctions néfastes émanant des aînés, qui s’arrogent l’autorité des parents, ou des groupes inscrits dans la délinquance." Etc. La disparition de la famille traditionnelle génère tous les maux de la société. Pour JM Bockel, il n'y a pas de lien entre la situation sociale, le chômage des jeunes, l'absence d'une politique économique efficace et la délinquance des jeunes...Suite
  • "Que gagne-t-on à constituer des catégories de publics de plus en plus fines dans l'espoir de "traiter la difficulté" ? Comment définir la "difficulté ordinaire" qui ne relève pas de spécialistes ? Les "élèves en difficulté", s'ils ne se confondent pas avec les "élèves difficiles", ne risquent-ils pas la marginalisation dans les dispositifs extérieures si on ne questionne pas ce qui se passe en classe, si les enseignants "ordinaires" refusent de prendre leur part ?" Ces questions de Régis Guyon éclairent le colloque parisien des Crap sur l'accompagnement pédagogique. Jean Houssaye, Eric de Saint-Denis, André Ouzoulias, Jean-Michel Zakhartchouk, et beaucoup d'autres intervenants, ont montré les facettes de la notion d'accompagnement. Accompagner les élèves en difficulté , le colloque du CRAP les 25 et 26 octobre 2010
  • Source :  VousNousIls » L’info, le Chiffre, le Mot, l’Homme de Quentin Duverger le 04/11/10Dans son rapport, remis hier au président,JM Bockel, préconise notamment de "responsabiliser les parents par rapport à l'école" et cite l'exemple de la "mallette des parents", de l'académie de Créteil, comme exemple de bonne pratique. Pour "construire une politique publique de la responsabilité parentale", l'Etat doit selon lui "assurer la formation des parents en généralisant les écoles de parents". Pour lutter contre les difficultés d'intégration de certaines familles, il propose par ailleurs de rendre obligatoire la participation de certains parents d'élèves à "une mise à niveau linguistique et républicaine"
  • Dépistage des bébés agités : le collectif "Pas de 0 de conduite" dit "non". Après la remise du rapport de Jean-Marie Bockel, le Collectif Pas de 0 de conduite "engage les autorités à ne pas prendre les bébés et les enfants en otage d'une entreprise politicienne". Suite

     


Le rapport sur la prévention et la délinquance des jeunes
 

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